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Escapade "PATRIMOINE Seine-Et-Marnais"

Tarif : à partir de ---€

En catégorie NOSTALGIE :---€

En catégorie EVASION : ---€

En catégorie LEGENDE : ---€


Journée " Escapade Patrimoine" touristiques, automobiles et gastronomiques en Seine et Marne

 

Convivialité, Originalité et Découvertes.

 

De Provins en Champagne. Les Escapades organisées, on y vient d’abord par hasard et on y revient avec ses amis pour partager avec eux cette douceur de vivre, cette douce France des années heureuses. Bien évidemment Les Escapades organisées rassemble des passionnés ou des amateurs de voitures. C’est la base de ces escapades.

 

 

    Au départ de PROVINS (dep77) ,

    Prise en charge à votre hôtel ou gare de Provins pour escapade.

    Découvrez le patrimoine Provinois, églises, abbayes, châteaux, lavoirs, etc...

    En Citroën Traction, Jaguar MK, Coccinelle, Citroën 2CV Charleston 


    Informations

    Durée :

    Localisation :77 -Provins

    Km : km aller-retour

    Location : sans chauffeur

    Tarif : à partir de

    Caution :2000€ à 5000€

    Possibilité de prise en charge à Provins (gare ou office de tourisme)


Cette Escapade Comprend

• Voiture

• Road Book

• Assurance professionnelle

• 1 Conducteur inscrit

 

Cette Escapade ne comprend pas

• Carburant

• Hébergement

• Restaurant

• Conducteur supplémentaire


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SAINT LOUP DE NAUD par la D106

Eglise de Saint-Loup-de-Naud, Village de Caractère dans le Provinois, région de Provins

Rue Serge Veau-77650 Saint-Loup-de-Naud-secretariat@saintloupdenaud.fr0164086258

Durée de la visite

Tarif

Restaurant / cafés

L’église du prieuré bénédictin de Saint-Loup-de-Naud, l’un des plus rares et plus beaux édifices romans d’Ile-de-France et proche de Provins, remarquablement conservé !

L'église Saint-Loup est l'église paroissiale de Saint-Loup-de-Naud, en Seine-et-Marne. Elle est dédiée à saint Loup, évêque de Sens au VII siècle. Elle était autrefois l'église du prieuré bénédictin Saint-Loup, disparu en 1560 à la suite des guerres de religion.

 

 


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LONGUEVILLE

AJECTA - musée vivant du train à vapeur

Adresse 3 rue Louis Platriez-77650 Longueville

Embarquez sur les rails de l’histoire avec l’AJECTA, à la découverte du Chemin de Fer !

Venez découvrir à Longueville à l'AJECTA, grand musée ferroviaire, connu notamment pour ses machines à vapeurs dont le charme n'a pas finie de nous envahir !

Le dépôt de Longueville, avec sa rotonde en bois construite en 1911 et classée aux Monuments Historiques, abrite de nombreuses locomotives à vapeur, de voitures et de wagons.

Cette magnifique collection qui impressionnera petits et grands, représente un siècle d’évolution du chemin de fer de 1850 à 1950.

Le musée est l’un des deniers survivants de la "Belle Epoque" du chemin de fer.

Fondée en 1968, l’association AJECTA réunit des passionnés du train et leur "savoir fer" pour la préservation du patrimoine ferroviaire français.

Tout le monde en voiture !

 Des voyages en train à vapeur lors des Journées européennes du Patrimoine, Le Train de la Citrouille à Halloween, Le Train du Père Noël, et de grands rendez-vous, romantique pour la Saint-Valentin et festifs pendant la saison estivale, animent ce musée insolite (programmation sous réserve).


Durée de la visite

Parking gratuit


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Les ORMES sur VOULZIE

Le musée de la vie d’autrefois

Musée de la vie d'autrefois, route de Frilure, Les Ormes-sur-Voulzie. Ouvert de 9 h 30 à19 heures. Dernière visite à 17 h 30, du mardi au dimanche et de février à décembre. Tarifs : adultes, 15 euros ; enfants, 10 euros (4-17 ans) ; famille (2 adultes + 2 enfants), 47 euros. Tél. 01.60.58.72.07.

Bienvenue dans une gigantesque machine à remonter le temps. Ouvert, à la place d'une ancienne discothèque, le Musée de la vie d'autrefois, à Ormes-sur-Voulzie, propose une véritable plongée dans la vie de nos campagnes et de nos villes, entre 1800 et 1950, au fil de 101 mises en scène.

Dès l'entrée, le visiteur est happé dans le quotidien de nos ancêtres, jusque dans les moindres détails grâce à une multitude d'objets de tous les jours, certains d'une grande rareté. « Nous avons racheté beaucoup de ces pièces dans un petit musée en Auvergne, puis nous avons complété », explique le comte Jérôme de Witt. Ce descendant de la famille de Napoléon 1er, directeur de la société d'horlogerie éponyme implantée à Genève et passionné de de mécanique, était encore, à la veille de l'ouverture, des outils entre les mains à régler le moindre détail.

Plus de 60 000 objets sont regroupés sur 3 500 m2, dont des dizaines de mannequins, pour représenter la vie quotidienne, les croyances et les multitudes de métiers comme ceux de dentellière, vannier, coiffeur, dentiste, bouchers ou autre sabotier… Le tout dans une mise en scène saisissante.

Viviane de Witt, qui espère contribuer à faire vivre le village. Elle a d'ailleurs aussi ouvert un café-restaurant dans la continuité du musée, dénommé Chez grand-mère. « On ne servira que des plats d'autrefois, comme du coq au vin ou de la blanquette. »

 

À la sortie du musée, une réplique de la tour Eiffel toise le visiteur du haut de ces 18 mètres. « Elle s'allume le soir », rigole la maîtresse des lieux. Des lieux vraiment insolites à découvrir.



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DONNEMARIE DONTILLY – D77

Donnemarie-Dontilly : jardin du cloître

Entrée libre, tous les jours et toute l’année, de 9h à 17h. Chiens non admis.

Adresse : rue de l’Eglise. Durée de la visite : 30mn

 

Adossée à l’église Notre-Dame de la Nativité, du XIIIème siècle, la galerie du cloître conduisant à la chapelle Sainte Quinette, a été mise en place au XVème siècle. Toutes deux sont classées Monuments Historiques. Sur l’ancien cimetière, un jardin médiéval a été restitué, sur le thème de "la vie et la mort". Il représente l’idéalisation du Paradis, les douze rectangles évoquant les douze apôtres et les mois de l’année. Les bordures de buis et la partie centrale font référence aux lectures symboliques du XVème siècle. Plantes médicinales et aromatiques se répartissent dans les douze rectangles. Au centre du jardin, la balustrade en chêne et châtaignier délimite le "jardin clos" où poussent le lis et l’angélique réputée pour prévenir la peste.

Curiosités et vestiges à Donnemarie-Dontilly

Avant le premier millénaire, Donnemarie-en-Montois fut protégée par d'importantes fortifications. Pas moins d'une vingtaine de tourelles et quatre portes en gardaient les issues, la Porte de Provins, celle de Melun, de la Maladrerie, enfin celle qui conduisait à Dontilly en traversant l'Auxence. Quelques tourelles subsistent encore.Notre village possède deux églises, deux mairies et deux monuments aux morts. En effet, Donnemarie-en-Montois et Dontilly étaient deux villages distincts. Ils se sont unis le 31 juillet 1967.  

L'une de nos rues porte de nom de la Glacière, savez-vous pourquoi ?

Quand il gelait fort en hiver, la glace était cassée sur la rivière puis charriée sur des tombereaux tirés par des chevaux. La glacière pouvait contenir 60 à 80 tombereaux de glace. Pendant le transfert de la glace, celle-ci était arrosée d'eau bouillante afin de ne former qu'un seul bloc qui pouvait se conserver toute une année et être utilisé au fur et à mesure des besoins. La glacière était exposée au nord dans une pente.

A Donnemarie-Dontilly, une famille en possède encore une. Elle se présente comme un tunnel en pente d'environ 6 mètres de long sur2 mètres de large avec un plafond voûté en brique ; au bout de ce tunnel, la glacière proprement dite est ronde, d'une hauteur de12 m et d'un diamètre de 7 m, le sol est en terre. C'était le réfrigérateur de nos anciens.

La ruelle du Moulin, située dans la rue Chaubart, rejoint la rue Cottereau devant l'église Notre-Dame de l'Assomption et la Mairie parun joli passage. Cette ruelle permettait aux habitants des quartiers Nord et Est de se rendre facilement aux meules à grains de la ville.Quant aux villageois du Sud-Est, ils accédaient au Moulin par une rue nommée le Grand Jardin supprimée après la réalisation du pont du roi. Au cours de votre promenade découvrez la ruelle aux huiles, la ruelle aux harengs ...



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DONNEMARIE DONTILLY – D77

Donnemarie-Dontilly 2

 

Dans la rue de la Porte de Melun se trouve une ancienne foulerie – ateliers de fouleurs d'étoffes - transformée en chambres d'hôtes mais également une ancienne tannerie transformée par la suite en cidrerie, aujourd'hui c'est une maison d'édition qui l'occupe.

Avez-vous remarqué la Halle de brique à l'angle de rue Marie-Chaubart et de la rue Cottereau ?

Admirez la charpente en bois de châtaignier de l'ancienne halle aux grains.

En vous promenant sur le boulevard de l'Auxence, en face du square Deberdt, se trouve l'ancien château de Donnemarie-en-Montois, qui faisait partie des anciennes fortifications, a été le siège d'une distillerie où était fabriquée une liqueur de cassis très appréciée.Le château a été entièrement reconstruit.

Au XVIème siècle, Jacques de l'Hospital, Comte de Choisy, seigneur de Dontilly, érigea le fief de Seguier-Forbois. C'est sur ce fief que fut bâtie à la fin du XVIIIème siècle la partie principale de la maison actuelle qui se trouve rue des Ecoles. Sur ses toits, on remarque des girouettes originales : une tourterelle, "le corbeau et le renard".

 A la ferme du Pavillon, attenante à l'église St Pierre St Paul, la ferme du Pavillon est ornée d'une girouette représentant le travail de l'ardoisier.

Sur le boulevard d'Haussonville, la maison « les Ibis » a été construite vers 1790. Son nom est dû au dieu égyptien Thot, à tête d'ibis,car il a inventé la médecine. Depuis 1924, elle a été occupée par cinq médecins différents, dont le Docteur Presgurvic, qui fut également Maire et Conseiller Général. A sa mort, sur sa demande, ses cendres ont été dispersées dans l'Auxence en face de sa maison. Une rue porte désormais son nom. L'inauguration a eu lieu le 19 septembre 2009, dix ans après la dispersion de ses cendres dans la rivière.

Un type de construction très rare en France : l'ensemble église-cloître

L'église Notre-Dame de l'Assomption fut construite à la fin du XIIe et au XIIIe siècle. De chaque côté de la nef se trouvent des vaisseaux qui se finissent en absides, L'ensemble est soutenu par des contreforts et des arcs-boutants. Elle possède deux portails, au sud, le tympan représente la Vierge Marie encadrée par deux anges, à l'ouest, les statues-colonnes furent martelées sous la Révolution.

Dans son clocher, dont le coq culmine à 60 m de hauteur, trois cloches rythment la vie des donnemaritains :Marie-Gabrielle, Joséphine-Pauline, et la plus petite, Désirée-Bernardine, toutes trois baptisées le 6 septembre 1874.

La grande rose constituée de médaillons a été restaurée ainsi que le tableau représentant St Paul touché par la grâce.

Le cloître est devenu un jardin médiéval qui a pour thème « la vie et la mort »

Douze rectangles évoquent à la fois les douze apôtres et les douze mois de l'année.

Reconstitué par Christophe Grunenwald, sur l'ancien cimetière délimité par la galerie conduisant à la chapelle funéraire de Ste Quinette, il comporte des plantes médicinales et aromatiques. Le nombre quatre y est présent, celui des saisons, des éléments, des évangélistes ; dans l'intersection de ses allées centrales, on peut y voir la croix du Christ mais aussi l'idée antique des quatre fleuves du Paradis.

Dans le rectangle central dont la balustrade est de chêne et de châtaignier, l'angélique côtoie la petite pervenche et le lis. Les graines des larmes de Job étaient utilisées pour confectionner les chapelets.



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DONNEMARIE DONTILLY – D77

Donnemarie-Dontilly-3

 

Respirez les parfums du romarin, de la lavande, des roses et du fenouil. Découvrez la sculpture sur bois dans un angle au-dessus de vos têtes, dans cette galerie classée monument historique tout comme l'église.Vestiges de l'histoire de l'école publique

L'ancienne école des filles est située dans la rue des écoles. Avant 1880, peu de communes possèdent des écoles de filles. Grâce à Jules Ferry, trois lois vont instaurer l'école gratuite en 1881, l'école obligatoire en1882 et l'école laïque en 1886.Rus, puits, moulins et lavoirs

Si la rivière de l'Auxence qui prend sa source à la mare Gigot à Sognolles-en-Montois, puis se nomme Vieille Seine  avant de rejoindre la Seine à la Tombe, elle traverse Donnemarie-Dontilly où, entre autres,  les rus de Laval, du Moulin, de Bescherelles et de Chalautre la rejoignent.

De nombreux puits à treuil ou à poulie jalonnent le village,  - à noter le puits monumental à girouette de la place du Marché - et tous ceux que vous découvrirez au cours de votre balade.

La rue du moulin à Tan rappelle que les tanneurs étaient nombreux au Moyen Âge. Le moulin à Tan  appelé aussi le moulin d'en-haut, possède encore ses bassins de décantation.

L'un des lavoirs, témoins du passé, situé à l'angle de la rue de la porte de Melun et de la rue Radepont, est régulièrement décoré par des bénévoles : la Crèche durant la période de Noël et aux beaux jours les Lavandières avec les ustensiles d'autrefois : battoirs de bois, lessiveuses, culottes fendues et linge d'époque.

Au hameau de Laval existait autrefois une tuilerie et un couvent de nonnes.

Le four à chaux de Donnemarie-Dontilly, datant du XIXe siècle, est visible de la Vieille Route de Mons. Il est inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques. L'étage inférieur et les fours à chaux, enterrés dans la butte, sont encore intacts, ainsi que le pignon surmonté d'un fronton de briques. Les carrières de chaux étaient nombreuses autour du village, ce matériau était utilisé pour enduire les façades et les murs des maisons traditionnelles.

Les métiers d'antan

Les tanneurs fournissaient les selliers, les bourreliers, les cordonniers.

Pas de tracteurs à l'époque mais des chevaux pour tirer tombereaux ou travailler aux labours et le maréchal-ferrant ne chômait pas. C'està la Croix Blanche, place du Marché que se trouvait le relais des calèches et la malle-poste, la place du Marché était célèbre pour sa foire aux bestiaux.

L’église Saint-Pierre et Saint-Paul

L’église de grès de Dontilly s'élève sur la Butte Saint-Pierre, qui a été précédemment occupée par une implantation gallo-romaine, puis par un château médiéval. Elle devient église paroissiale en1589.

Elle comporte une tour-porche construite au début du XIe siècle, percée de baies enplein cintre au premier niveau. Le choeur ouvre sur une nef de quatre travées, édifiée au cours du XVIe siècle ; sa construction ne semble pas antérieure à 1550 comme l'attestent les arcs brisés et les chapiteaux doriques qui surmontent les piles.

Elle est classée Monument Historique en 1930. Si l'église a perdu tout son mobilier, elle conserve une cloche fondue par le fondeur de Notre-Dame de Paris.

Chaque rue, chaque maison de Donnemarie-Dontilly possède sa propre histoire.

 



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MORET SUR LOING

Village des peintre -Musée du sucre d’orge – La grande Rue

Venez découvrir Morêt sur Loing  comme vous ne l'avez jamais vue ! Située à une heure de Paris, en lisière de forêt de Fontainebleau, la cité royale, célèbre pour son Sucre d'Orge et ses paysages immortalisés par l'impressionniste Alfred Sisley, vous accueille tout au long de l'année.

La porte de l'Histoire

Les portes médiévales fortifiées, le donjon, le pont tout comme l'église Notre-Dame font de Moret-sur-Loing un site incontournable pour les amateurs d'histoire.

La ville est classée "Site patrimonial remarquable" et "Destination impressionnisme ".

Au gré de vos déambulations au cœur de la cité royale, vous découvrirez les superbes façades renaissance, les bords du Loing, les moulins sur la rivière...

L'impressionniste morétain

Le nom de Moret-sur-Loing est inséparable de celui d’Alfred Sisley (1839-1899).

Ce peintre, considéré comme le plus grand paysagiste impressionniste a vécu vingt ans à Moret-sur-Loing. Une période au cours de laquelle il affirma son style et réalisa plus de 400 toiles.

Captant les changements de lumière, les reflets sur le Loing et la beauté des paysages, ses compositions restent parmi les plus grands chefs-d’œuvre impressionnistes et sont accrochées dans les plus prestigieux musées du monde.

Un des bonbons les plus anciens de France

Créé par des Sœurs bénédictines de Notre-Dame-des-Anges, sa recette, toujours tenue secrète, est restée inchangée depuis 1638. Il rassemble tous les ingrédients d’un bonbon de légende!

Une saveur douce et délicate, une histoire tumultueuse, il est apprécié des plus grands, du Roi XIII et de sa cour, à Napoléon qui en raffolait. Sarah Bernhardt ne rentrait pas en scène sans avoir chauffé sa voix avec un Sucre d’Orge.

S’il n’est plus produit par des religieuses depuis 1972, le Sucre d’orge est toujours fabriqué à Moret, selon la méthode du XVIIe, sans ajout, ni de colorant, ni d’agent de saveur.

Il a même sa Maison dans la ville et son Musée  implanté au Moulin Provencher, sur une île au milieu du Loing !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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MORET SUR LOING

LE SUCRE D’ORGE DE MORET

Un bonbon de légende

Le plus vieux bonbon de France a été inventé à Moret en 1638

Une saveur douce et délicate, une histoire à rebondissements, une recette gardée secrète depuis plus de 300 ans, le Sucre d’Orge de Moret-sur-Loing rassemble tous les ingrédients d’un bonbon de légende!

Créé sous le règne de Louis XIII en 1638 à Moret, par des Sœurs bénédictines de Notre-Dame-des-Anges, le Sucre d’Orge a connu un destin des plus tumultueux, étroitement lié à celui du Prieuré. Si cette confiserie fabriquée à partir de sucre et d’une décoction d’orge aux vertus adoucissantes fut tout d’abord consommée par les prédicateurs, elle devint rapidement la coqueluche du Roi et de sa cour. Mais en 1792, dans la tourmente révolutionnaire, la fabrication s’arrête. Le couvent fermé, on crut la recette définitivement perdue. C’est alors que l’une des bénédictines confia sur son lit de mort la précieuse formule à sa confidente, lui faisant jurer de la transmettre à son tour lorsqu’une nouvelle congrégation viendrait s’installer à Moret. La promesse fut tenue, la fabrication reprit, et berlingots et bâtonnets renouèrent avec le succès. Sa popularité ne se démentit dès lors plus: Napoléon en raffolait, Sarah Bernhardt ne rentrait pas en scène sans avoir chauffé sa voix avec un Sucre d’Orge. S’il n’est plus produit par des religieuses depuis 1972, le sucre d’orge est toujours fabriqué à Moret selon la méthode du XVIIe, sans ajout ni de colorant, ni d’agent de saveur.

Un musée consacré à ce bonbon est implanté au Moulin Provencher, sur une île au milieu du Loing. Vous pourrez y découvrir son histoire, avant de faire une halte gourmande à la boutique de la Place Royale.



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MORET SUR LOING

Musée du Sucre d’orge

Sur le pont de Moret-sur-Loing, Moulin Provencher.

Visite libre du vendredi au dimanche de 14h à 19h, 14h30 le vendredi (horaires susceptibles d'être modifiés), tarif: 2.

Carte Balad’Pass 77 acceptée. Visite guidée pour les groupes

du mardi au samedi, de mars à octobre.

Renseignements: Office de Tourisme MSL ou culture@moretloingetorvanne.fr

Boutique du Sucre d’orge

 

Cette boutique propose à la vente les fameux sucres d’orge, en berlingots ou bâtonnets, mais également de nombreuses confiseries, comme les bonbons au coquelicot de Nemours ainsi que des chocolats.

Ouverture : d’avril à septembre : mardi-samedi: 9h30-12h30 / 15h-19h

Dimanche et jours fériés : 9h30-12h30 / 15h-19h

D’octobre à mars : mardi-samedi : 9h30-12h30 / 15h-19h

Place Royale, 77250 Moret-sur-Loing, Moret-Loing-et-Orvanne

Tél. : 01 60 70 24 53

Site : www.deslischocolat.com

Le sucre d’orge de Moret infuse la gastronomie locale!

 

On peut aussi le déguster, en fromage ou dans du saucisson… Cette spécialité s’invite et se marie avec de nombreuses préparations culinaires.

Adresse : 4 bis, place de Samois, Moret-sur-Loing,

77250 Moret-Loing-et-Orvanne France

 

    Téléphone :  01 60 70 41 66

 

    Courriel :   tourisme@ccmsl.com

 

 


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MORET SUR LOING

PASSEZ LA PORTE DE L'HISTOIRE

Moret-sur-Loing, cité médiévale et royale

Un site incontournable pour les amateurs d’Histoire et de peinture

Jadis frontière entre le royaume de France et le duché de Bourgogne, Moret-sur-Loing fut trois siècles durant une cité royale façonnée et fortifiée par les rois Capétiens, Louis VI, Louis VII et Philippe Auguste. La place royale, les remparts, le donjon du XIIe siècle sont fiers de leurs racines médiévales et structurent l’architecture de la vieille ville. Si les 1356 mètres de remparts et la vingtaine de tourelles ne sont plus tous là, les deux portes, de Bourgogne et de Samois et l’urbanisme du centre-ville témoignent magnifiquement de ce passé médiéval. La majesté des portes, le pont et les bords du Loing tout comme l’église Notre-Dame, font de Moret un site incontournable pour les amateurs d’Histoire et de peinture.

Au gré de vos déambulations au cœur de la ville, vous découvrirez les superbes façades renaissance, la Maison du Sucre d’Orge, spécialité des sœurs de Moret-sur-Loing depuis le XVIIe siècle ou encore la maison et la tombe d’Alfred Sisley, «l’impressionniste morétain» qui sut capter la majesté et la lumière de la cité.

Nombre de touristes viennent voir les sites peints par Sisley, dont les «spots» sont encore préservés: le pont sur le Loing, immortalisé par le peintre, l’église Notre-Dame, le donjon, les chemins de halage

 

 


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MORET SUR LOING

Les portes et les remparts (XIIe - XVe siècle)

À la fin du XIIe siècle, Moret-sur-Loing marquait la frontière entre le royaume de France et la Bourgogne. Le roi Philippe Auguste (1180 - 1223) fait de Moret-sur-Loing une place forte et l’entoure d’une ceinture de remparts, flanquée de portes. À l’Ouest, la porte de Samois (anciennement de Paris), à l’Est, la porte de Bourgogne. Ces tours carrées, flanquées vers l’extérieur de deux imposants contreforts qui portent chacun une tourelle en encorbellement, sont percées de deux arcs en plein cintre, entre lesquels coulissait la herse. La porte de Bourgogne est ouverte au public lors des Journées Européennes du Patrimoine.

Le Donjon (XIIe - XIXe siècle) a été inscrit monument historique dès 1926.

Siège du pouvoir seigneurial du roi sous Louis VI, ce donjon roman de type normand domine la cité. Il fut une résidence appréciée des premiers Capétiens et plus tard, de Jacqueline de Bueil, comtesse de Moret et maitresse du roi Henri IV. En 1664, le surintendant des Finances, Nicolas Fouquet, y fut enfermé sous la garde de d’Artagnan.

15 rue du donjon, Propriété privée.

 

 


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MORET SUR LOING

La Façade François Ier

Cette galerie Renaissance datant de 1527, dite de «François Ier» est une fantaisie architecturale que l’on doit à Nicolas Chabouillé. Elle est ornée de motifs

sculptés représentant alternativement des fleurs et des scènes tirées des travaux d’Hercule. Initialement située rue Grande, elle fut achetée par un colonel de cavalerie, démontée et reconstruite à Paris et devint la façade d’un hôtel particulier destiné à sa maîtresse, l’actrice Melle Mars. C’est en 1955 qu’elle revint à Moret, après un exil de 133 ans.

Cour de l’Hôtel de Ville.

Le Prieuré de Pont-Loup

Ce prieuré, dont il ne subsiste que l’église a été construit en 2 campagnes. En 1165, il servit de refuge à 80 moines de Vézelay, lors des menées et voies de fait du Comte de Nevers. Le nom de Pont Loup (pont sur la Loue =Loing) apparait en 1175.

Situés hors des murs de Moret, ses bâtiments furent en partie détruits au cours des guerres du XVIe siècle. En avril 1747, l’archevêque de Sens en prononce la suppression.

En avril 1791, ce qui subsiste des bâtiments est vendu comme Bien national. Pendant tout le XIXe siècle, l’église servit de grange à écorce pour les moulins à tan. En 1964, elle est devenue propriété de la ville de Moret-sur-Loing qui en commence la restauration.

Aujourd’hui l’ancien prieuré abrite des rencontres d'art contemporain.

9 rue du Peintre Sisley,

01 60 73 51 59

Ouvert les vendredis, samedis, dimanches et jours fériés, de 14h à 18h (mars-avril et septembre-décembre), de 14h à 19h (mai-août).

 

 

L’Hôtel de Ville (1910-1913)

 

Grande demeure bourgeoise à l’origine, elle fut transformée par l’architecte parisien Paul-Joseph Clément, féru de néo-gothique, en un pastiche d’hôtel particulier du XVe siècle. En 1948, la municipalité l’acquiert pour y installer l’Hôtel de Ville.

26 rue Grande.

 

 


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MORET SUR LOING

L’Église Notre-Dame-de-la-Nativité

(XIIe-XIIIe siècle) Considérée comme un édifice majeur de l’architecture gothique au nord de la Loire, elle présente une abside sans déambulatoire et un chœur inspiré de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Elle abrite un orgue Renaissance qui compte parmi les plus anciens de France. Elle fut classée monument historique en 1840.

Place royale.

Ouverte au public, tous les jours de 9h à 19h (sous réserve de cérémonies religieuses).

Les Moulins à Tan et Graciot

Le tan, matière chimique naturelle, était utilisé pour assouplir les peaux dans la tannerie. Il était obtenu en broyant de l’écorce de chêne provenant de la forêt de Fontainebleau. Au-devant du pont de Moret-sur-Loing, furent construits au XVe siècle deux moulins à tan en avant-bec pour briser le courant. De l’autre côté du pont, à l’aval, le moulin Graciot possède des fondations remontant au XIVe siècle. Leur capacité de production dépassant les besoins locaux, la région développa cette production jusqu’au tournant des XIXe et XXe siècles. Sur une île du Loing, le moulin Graciot est aujourd’hui dédié à la sculpture. Le moulin à tan accueille régulièrement des expositions.

Accès par l’escalier sur le pont de Moret-sur-Loing.

Ouvert les samedis, dimanches et jours fériés, de 14h à 19h (juin-septembre).

Le Moulin Provencher

Ce moulin était à l’origine un moulin à foulon qui permettait, en associant le cuir et l’huile animale, d’obtenir une peau très souple ou chamoisée, utilisée notamment dans la ganterie.

En 1779, ce moulin est transformé en scierie mécanique de conception hollandaise. Cette activité ne fut pas rentable pour son propriétaire qui, avant la Révolution, lui substitua un moulin à blé.

Au début du XXe siècle, alors que l’activité est en pleine expansion, ce moulin est acquis par la famille Provencher qui lui laissa son nom.

En août 1944, pour protéger leur retraite, les troupes allemandes firent sauter le pont. Le moulin détruit fut remplacé par la maison actuelle. Il accueille aujourd’hui le Musée du Sucre d’Orge.

Visite libre du vendredi au dimanche de 14h à 19h, 14h30 le vendredi (horaires susceptibles d'être modifiés). Entrée: 2 €. Visite guidée pour les groupes du mardi au samedi, de mars à octobre. Renseignements à l’Office de tourisme MSL.

Moulin Provencher, accès par la passerelle sur le pont de Moret-sur-Loing..

Moulin Provencher, accès par la passerelle sur le pont de Moret-sur-Loing.

 

 


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MORET SUR LOING

Parcours et visites guidées

Pour découvrir la cité médiévale de Moret-sur-Loing, vous pouvez emprunter le parcours historique en visite libre ou suivre l’une des visites guidées organisées par l’Office de Tourisme Moret Seine & Loing. Le parcours patrimoine vous permettra de déambuler le long des ruelles de la cité médiévale et de vous familiariser avec la grande Histoire celle de la France, celle de Moret-sur-Loing. En une trentaine de plaques, offrez-vous une balade de Philippe Auguste à Napoléon! Des visites guidées thématiques sont ouvertes aux visiteurs individuels deux samedis chaque mois de mai à fin septembre. Le programme des visites guidées pour les individuels est disponible sur le site Internet de l’Office de Tourisme ou sur simple demande. Pour les groupes: visite sur réservation tout au long de l’année.

Renseignements et réservation pour les visites guidées:

Office de Tourisme Moret Seine & Loing

Tél. : 01 60 70 41 66

Courriel : tourisme@ccmsl.com

Également à découvrir à Moret-sur-Loing

Le Musée du Vélo

Installé dans l’enceinte des anciens ateliers des usines Prugnat, où étaient fabriquées les célèbres «pinces parisiennes», le Musée du Vélo revisite l’histoire du cycle, de 1817 à nos jours : Draisienne, Vélo Michaux, Grand Bi, Hirondelle…

Plongez également au cœur des toutes premières éditions du Tour de France, à travers l’itinéraire de grands champions originaires de Seine & Loing: René Pottier, vainqueur du Tour 1906 et André Leducq, double vainqueur en 1930 et 1932. Autre particularité du musée, il propose dans ses locaux un atelier de vente et de réparation de cycles, avec la société Vello Bello.

Le musée est ouvert du mardi au vendredi de 13h à 19h, le samedi de 10h à 18h.

Entrée gratuite. Visites guidées pour les groupes toute l’année et pour les individuels


Le Musée Municipal

de Moret-sur-Loing vous propose un aperçu de l’histoire de la ville.

Il accueille également des expositions d’art contemporain.

Ouvert les vendredis, samedis, dimanches et jours fériés, de 14h à 18h (mars-avril et septembre-novembre), de 14h à 19h

de mai à août.

4 bis place de Samois,

Tél. : 01 60 70 32 30,

Courriel : musee.moret@orange.fr

Le Musée du sucre d’orge, plus d'information sur le sucre d'orge et le musée sur cette page

mais aussi des galeries d’art, un café théâtre (le thalie theatre) et la halte fluviale sur le Loing et le canal.


Le point Sisley

Le Point Sisley, animé par une association de passionnées et d’érudits vous permet de découvrir la vie de Sisley et certaines de ses œuvres à travers des reproductions.

24 rue Grande, Moret-sur-Loing, Moret-Loing-et-Orvanne. 01 60 70 39 99

Entrée gratuite.

Ouvert d’avril à septembre les jeudis, samedis, dimanches, et les jours fériés, de 15h à 18h, ou sur demande.

www.alfred-sisley.com


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FLAGY

Le moulin ed flagy-L’église Notre dame

À quelques kilomètres de Moret-sur-Loing, vous pouvez découvrir une petite cité médiévale pleine de charme: la châtellenie royale de Flagy.

Au XIIe siècle, le roi Louis VII, père de Philippe Auguste, décide de bâtir une ville neuve à Flagy. La commune est en effet construite sur ce modèle d’urbanisme avec des rues parallèles (ici, 7 rues), chacune disposant d’un puits (7 puits) descendant jusqu’à la rivière. Celle-ci est détournée de son cours pour alimenter trois moulins. La ville disposait en son centre d’une grande halle qui n’a pas survécu à la guerre de Cent Ans, de fortifications, murs et tourelles qui ont été détruits au XIXe siècle. Témoins de cette époque l’église, le moulin, et les caves médiévales peuvent être visitées (lors des Journées du Patrimoine). Le village est le théâtre de grandes soirées de fête à la belle saison «les apéros concerts» et les classiques du vendredi (festival de musique classique).


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FLAGY

Le Chateau de Bellefontaine

Des mutations notables et des réunions de fiefs se sont produites au XIV ème siècle lorsque la terre de Nemours fut érigée en Duché-pairie en faveur du Roi de Navarre. Tout ce que le Roi possédait à Flagy s’y trouva incorporé (1404). Quelques années auparavant un échange avait été résolu avec Jean Payen, dit Taupin, Seigneur de Bellefontaine, de Varennes et de Ville St. Jacques, à qui le Roi consentait à abandonner la moitié lui appartenant dans la terre de Flagy.

EN SAVOIR +

Le Château de Bellefontaine situé sur le coteau au-delà de l’Orvanne (par rapport à Flagy) existait au XIII ème siècle, et sans doute à une époque antérieure. Son possesseur étendait ses droits sur une partie du village de Flagy et de Ferrottes. Il eut sa chapelle castrale dédiée à St. Jacques en 1236 avec l’autorisation de l’archevêque Gautier Cornu qui se réserva le droit de nommer le chapelain.

 


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FLAGY

Le moulin ed flagy

Le Moulin aurait été achevé à la fin du 13ème siècle. Il aurait appartenu à Blanche de Castille, ce qui est fort possible puisque Flagy faisait partie du Domaine Royal. Il y avait d’ailleurs dans le village une cure royale, ainsi qu’un procureur fiscal et un garde sel.

La roue du Moulin était à aubes et mue par l’Orvanne. Le Moulin fabriquant la farine tous remparts fermés. Flagy, comme l’ensemble du Gâtinais a subit des déprédations pendant l’occupation Anglaise et particulièrement lorsqu’Armagnacs et Bourguignons étaient aux prises.

Un incendie ravagea la ville et le Moulin ne fut épargné que grâce à son isolement. Ceci se passait vers 1420, lorsque Jean sans Peur fut assassiné sur le Pont de Montereau et que le Curé de Flagy Jean Laloue le veilla.

EN SAVOIR +


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FLAGY

Curiosités et monuments

Le Manoir de Guemery

 

GUEMERY, ferme (carte CASSINI) à l’origine de la construction de la villeneuve

de FLAGY, a été bâtie sur un site gallo-romain, GUEMERICUM. Des tuiles de

l’époque romaine ayant été trouvées par le fermier exploitant l’ancien potager

(emplacement du tennis actuel) laisse supposer qu’il s’agissait de thermes situés à cet emplacement. Actuellement une source (GAVINELLE) coule paisiblement dans le jardin.


Au nord de la maison, la route vers la montagne, reliait Moret à Sens.

La construction, selon la date gravée sur les murs, avec la signature du maçon

GUILLAUME, date des années 1886 et 1900, pour la deuxième partie.

L’avant dernier propriétaire, Pierre DUX, administrateur de la Comédie Française, a occupé la maison dans les années 1960/1970.